J'ai rencontré Maîtresse Sad sur le forum chasteté de Fessestivites. Nos discussions étaient sympas et le courant est passé tout de suite entre nous. Elle a rapidement désiré tester ma soumission en m'imposant une webcam pendant laquelle j'ai du prendre des poses et me poser des pinces à linge sur le corps. A la suite de quoi, elle m'a demandé mon numéro de téléphone en privé que je lui ai donné immédiatement, en précisant qu'elle pouvait me joindre à l'heure de sa convenance en dehors des heures de travail par souci de discrétion.

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Maîtresse Sad m'a donné un rendez-vous sur un parking de supermarché à Lyon en me demandant des informations sur ma voiture puis en m'indiquant que je devais me garer à côté des bouteilles de gaz à la station service. J'étais aux anges et au rendez-vous fixé avec une heure d'avance. Elle m'a contacté par téléphone en me demandant de descendre du véhicule puis de me déplacer à pieds pour aller au fond du parking relativement vide à 10 heures.

• Derrière les caddies tu trouveras un sac poubelle noir. A l'intérieur il y a un collier de chien et une laisse. Je veux que tu mettes le collier, quand cela sera fait, je te dirai où je suis, m'a indiqué Maîtresse Sad par téléphone.

J'étais blême, mort de honte. Plutôt que de passer pour un idiot aux yeux de cette Maîtresse acceptant de me recevoir, j'ai osé. Les clients du supermarché étant assez loin, je ne pense pas qu'ils aient vu le collier mais quand Maîtresse Sad m'a demandé de mettre la laisse entre mes dents et de venir la rejoindre trois allées plus loin, mon sang s'est glacé dans mes veines. Encore une fois j'ai osé mais ma tension était à son extrême et mon coeur à deux doigts d'exploser.

• Je te félicite, tu mérites vraiment que je te reçoive ! M'a indiqué une femme avec une magnifique chevelure blonde en sortant d'une BMW noire à deux pas de moi.

Elle a saisit la laisse comme si de rien n'était pour me faire monter à l'arrière de sa voiture. Pendant le trajet nous emmenant à son domicile, elle a renouvelé ses félicitations et promis une récompense sans évidement m'indiquer laquelle, pour me laisser mariner. Arrivés dans le jardin d'une somptueuse villa, j'ai du lui ouvrir la portière puis la suivre à deux mètres, "ni plus ni moins" m'a-t-elle indiqué. Elle m'a fait entrer dans un salon avec de magnifiques poutres et des boiseries de rêve tout comme le mobilier provençal sûrement réalisé par un ébéniste de renom. Conduit sous une des poutres du plafond, elle m'a demandé d'attendre quelques instants. Soudain, un petit câble en acier s'est mis à descendre du plafond, à son extrémité s'y trouvait un anneau de shibari et une paire de menottes.

• Mets-toi nu et passe tes mains dans les menottes !

Je me suis exécuté rapidement en essayant de ne pas lui faire voir que j'avais un peu peur, la situation ne ressemblant pas du tout à ce que j'avais imaginé. Lorsque j'ai refermé les menottes sur les poignets, elle s'est approchée de moi avec un gros ballstretcher en acier chromé, pour s'amuser un moment avec mon sexe en étirant mes testicules vers le bas sans ménagement. En grande experte elle est parvenue sans me pincer à le refermer entre mes testicules et mon sexe, ses attouchements et la traction sur mes précieuses ont généré mon érection qu'elle n'a pas apprécié.

• Je ne t'ai pas autorisé à bander, tu vas être puni pour ça !

Mes excuses n'ont servi à rien, elle s'est approchée de moi avec un air froid et une canne anglaise dans les mains. Elle me retira le collier et ma laisse en soupirant.

• Il y a combien de lettres au mot "bander" ?

• Six lettres Madame, ai-je répondu.

• Tu vas donc recevoir six coups de canne anglaise, ne te plains pas, je ne compte pas pour l'instant les lettres de "sans autorisation de ma Maîtresse".

Et là, sans plus de forme ni d'explication, elle m'a donné six coups de canne anglaise sur les fesses en laissant juste assez de temps entre les coups pour que j'en "savoure" les effets. Chacun des impacts m'a fait bondir de douleur, le ballstretcher entre mes jambes me rappelait mon erreur, en se balançant avec mes précieuses douloureusement étirées. Quelques secondes plus tard, comme si rien ne s'était passé, elle présenta à ma bouche pour que je le lèche un gros plug rosebud équipé d'une tige assez allongée entre la base et la partie pénétrante. Une fois léché, ce gros plug rosebud en métal prit le chemin de mes fesses où il trouva rapidement l'entrée de la grotte, qu'il força sans plus de précaution.

• Te voilà équipé pour les courses que nous allons faire ce matin mais avant je vais t'offrir ta récompense, m'indiqua Maîtresse Sad en faisant descendre le câble maintenant mes mains en l'air. Couche-toi sur le sol, je vais t'offrir un petit cadeau mais je te préviens, si tu oses me toucher je t'émascule.

Devant un tel avertissement, l'idée d'avoir des mains baladeuses ne vous vient pas à l'esprit, cela ne me gêna point, il n'était pas dans mes intentions de lui manquer de respect. Lorsqu'elle enjamba mon visage, je pus apercevoir entre ses magnifiques cuisses délicieusement fuselées, qu'elle ne portait pas de culotte. Son sexe dont la beauté n'était altérée par aucun poil disgracieux s'approcha de mon visage, me permettant d'espérer avoir l'extrême plaisir d'y goûter.

Il n'en fut rien, Maîtresse Sad avait mémorisé que j'affectionne le champagne doré mais elle posa un entonnoir entre sa délicieuse vallée des plaisirs de Tantale et ma bouche en m'indiquant qu'il serait dangereux pour moi que je salisse son salon. Un petit chuintement m'indiqua l'arrivée de son nectar, pipi rapidement confirmé par mes papilles gustatives laissant apparaître qu'elle avait sûrement anticipé la chose et beaucoup bu, pour ne point les agresser. Mon gosier s'attela à l'ouvrage afin de ne rien perdre de son précieux liquide mais aussi pour éviter sa canne anglaise toujours posée sur la canapé ! ! ! !

• Bien, très bien, pour t'encourager à continuer ainsi dans l'obéissance, je vais t'offrir le droit de me servir de papier toilette. Tu n'as droit qu'à deux coups de langue pas plus, ne t'aventure pas à vouloir me manger la "choune" comme un chien en manque, il t'en coûterait.

Ma langue gourmande souffrit d'une grande frustration mais respecta sur ordre de mon fessier et de la bonne conduite de ne point céder à la gourmandise. La chose faite, trop rapidement à mon goût, elle me libéra puis m'ordonna de me vêtir mais sans mettre mon caleçon. Garder le gros rosebud en bonne place m'obligea à des contorsions avec les fesses grandement serrées. Deux clics de télécommande plus tard, la maison s'était fermée, j'étais au volant de sa superbe BMW et elle, assise derrière comme une reine se faisant conduire chez le traiteur.

Elle y fit quelques achats sans me demander mes goûts dont elle n'avait que faire, puis fit plusieurs étapes devant des boutiques de vêtements dont chaque pièce représentait pour moi quinze jours de salaire. Mon souci commençait à être de taille devant, le ballstretcher étirant grandement mes testicules pendant que derrière le gros missile menaçait de quitter sa rampe de lancement sans autorisation.

Une heure plus tard, prendre place au volant de sa voiture fut un grand soulagement pour moi tant la menace de guerre "Anus / missile / pantalon" menaçait. Le repas fut organisé très simplement, elle assise à table se faisant servir, moi debout à côté d'elle avec des moments de pause pour que je puisse lécher ses restes dans chaque assiette.

• Acceptes-tu de devenir mon soumis attitré ? Me demanda Maîtresse Sad ?

Cette question fit monter des larmes de bonheur à mes yeux, ma réponse fut immédiatement positive même si elle reformula certaines de ses exigences abordées sur Fessestivites.

• Alors dans ce cas, va chercher ta carte bleue, nous allons faire des achats.

Cet ordre m'inquiéta, Maîtresse Sad s'annonçant "non vénale" mais je ne lui fis pas part de ma surprise et m'exécutai comme demandé. A mon retour, elle me demanda d'ouvrir le frigidaire, de sortir une bouteille de champagne Veuve Clicquot puis de prendre deux flûtes dans le vaisselier. Madame se fit servir au salon où j'eus le privilège de m'asseoir à ses pieds devant un meuble qu'elle ouvrit, dans lequel je pus découvrir un ordinateur de dernière génération. Elle tendit sa flûte de champagne vers moi en m'autorisant à trinquer avec elle et à boire pour fêter la conclusion de notre première rencontre.

• Je sais que tu n'as pas de cage de chasteté , tu vas en acheter une ainsi qu'un cadenas à combinaison à la boutique ABCplaisir. Cette boutique est très abordable et le webmaster est un ami, je subodore que tu acceptes de me faire le plaisir d'acheter ta cage de chasteté chez lui.

Sans même attendre ma réponse, en quelques clics elle fit mes emplettes, indiqua son adresse puis me demanda de régler la commande avec ma carte bleue.

• Je fais livrer ta commande chez moi, profite de ces quelques jours de liberté, d'ici peu, ton petit robinet sera emprisonné. Par contre en attendant, tu peux garder sur toi et en toi ce que je t'ai prêté aujourd'hui. Je veux que tu les gardes sur toi jusqu'à ce soir et que tu me fasses voir en webcam que tu as respecté mes souhaits. La semaine prochaine tu reviendras avec, sur toi bien évidement. Comme j'ai un rendez-vous chez mon notaire cet après-midi, je vais te raccompagner, nous conviendrons d'un prochain rendez-vous par email.

Maîtresse Sad prit le volant de sa voiture au retour et me fit la surprise de me déposer à deux kilomètres du supermarché en m'indiquant avec un sourire sadique posé sur les lèvres, qu'un peu de marche à pieds ferait du bien à mon intimité........

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Vous allez me traiter de malade mental, mais j'ai hâte de retourner chez elle même si elle m'a annoncé que le week-end ne serait pas de tout repos pour moi.

Soumis.......

Ecrivaillon

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